Histoire-Géographie au bac pro
Après analyse des productions des élèves aux épreuves de 2012 et 2013, l’Inspection générale d’Histoire et Géographie précise l'évolution possible de la première partie de l'épreuve de bac. Cette évolution s’inscrit pleinement dans le cadre défini par le Bulletin officiel n°20 du 20 mai 2010 qui n’est pas modifié.
Orientations pour l'épreuve d’histoire-géographie-éducation civique du baccalauréat professionnel
Inspection générale – Groupe histoire et géographie
4 décembre 2013
L’épreuve d’histoire-géographie-éducation civique du baccalauréat professionnel valide les connaissances et les capacités acquises dans le cadre d’un enseignement disciplinaire à vocation essentiellement culturelle et civique. Elle évalue des acquis correspondant à un examen de niveau IV, avec des exigences adaptées au cursus des élèves.
Le bilan des notes et l’évaluation qualitative des productions des élèves lors des deux premières sessions de 2012 et 2013, dressés à partir des observations académiques et des remarques des enseignants et des correcteurs, mettent en évidence les difficultés particulières éprouvées par les candidats sur la première partie de l’épreuve.
Pour apporter une réponse à ces difficultés, la formulation du sujet de cette première partie est ajustée, en restant dans le cadre strict de la définition de l'épreuve qui précise que : « La première partie porte sur les sujets d’étude, soit d’histoire, soit de géographie. Elle propose deux sujets au choix. Chaque sujet est composé d’une ou plusieurs questions et peut comporter un support documentaire » (arrêté du 13-4-2010 paru au BOEN n°20 du 20 mai 2010).
La formulation de la première partie de l'épreuve d’histoire-géographie-éducation civique se présentera de la manière suivante dès la session 2014 du baccalauréat professionnel :
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- chacun des deux sujets au choix, de difficulté comparable, comporte plusieurs questions portant sur un seul ou sur différents sujets d'étude ;
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- les questions posées peuvent être indépendantes les unes des autres; elles permettent de balayer plusieurs aspects du ou des sujet(s) d’étude ;
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- les questions sont de natures variées : questions à réponses courtes (définition, questionnaire à choix multiples, repérages spatiaux ou temporels...), questions appelant des réponses plus développées. Un support à compléter peut être annexé ;
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- les questions peuvent être rassemblées en deux catégories, correspondant à deux grands ensembles de capacités inscrits dans le tableau des capacités des programmes :
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repérer la situation étudiée dans le temps et dans l’espace (dater / situer / identifier / périodiser / localiser / repérer...) ;
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mettre en œuvre les démarches et les connaissances du programme (raconter / caractériser / définir / décrire / expliquer / comparer / confronter...).
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